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Rachel Gardner, L.C.S.W. About Rachel Gardner, L.C.S.W.

Rachel a obtenu sa maîtrise de travail social à l'Université de Californie du Sud en 2012 et a obtenu sa licence de travail social clinique après avoir travaillé avec diverses communautés dans une variété de contextes hospitaliers et ambulatoires. Elle est formée à la thérapie cognitive et comportementale centrée sur le traumatisme (TFCBT), à la thérapie comportementale dialectique (DBT), à la thérapie d'acceptation et d'engagement (ACT), à la désensibilisation et au retraitement par le mouvement des yeux (EMDR), aux systèmes familiaux internes (IFS), à la thérapie centrée sur les émotions (EFT), à la thérapie familiale structurelle, au Brainspotting (BSP), à la thérapie du bac à sable, à la psychothérapie assistée par les équidés, à la guérison par le son, et elle travaille à l'obtention d'une certification en thérapie par le yoga. Rachel est passionnée par le fait de susciter l'espoir, d'encourager la persévérance et de promouvoir l'équilibre tout au long du parcours transformationnel de ses clients afin qu'ils puissent atteindre leur potentiel le plus élevé et s'épanouir. Elle est inspirée et trouve rajeunissant de donner aux individus le pouvoir de faire une croissance durable et elle est humble et honorée d'être autorisée à marcher avec eux sur le chemin de la guérison. Dans son temps libre, Rachel expérimente de nouvelles recettes, organise des soirées de jeux, va à la salle de sport, fait du bénévolat, jardine, passe du temps avec son cheval, se blottit contre ses chats et explore la nature en faisant du camping, de la randonnée, du vélo, du kayak et de l'équitation.

Symptômes communs aux adultes survivants d’abus sexuels subis dans l’enfance

Woman sitting in booth wearing a striped shirt and looking sad.

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Symptômes communs aux adultes survivants d’abus sexuels subis dans l’enfance

Les abus sexuels subis dans l'enfance peuvent avoir des effets débilitants durables tout au long de la vie d'un survivant. Les impacts des traumatismes sexuels sont profonds et d'une grande portée, affectant tous les aspects de la vie d'un individu - sur le plan physique, psychologique, cognitif et social. Mais pourquoi en est-il ainsi ?

Pourquoi les survivants de traumatismes présentent-ils des symptômes durables ?

On dit que le traumatisme est une expérience vécue avec tout notre être. Dans son ouvrage Le corps n’oublie rien, le Dr Bessel van der Kolk déclare : "Nous avons appris que le traumatisme n'est pas seulement un événement qui s'est produit dans le passé ; c'est aussi l'empreinte laissée par cette expérience sur l'esprit, le cerveau et le corps. Cette empreinte a des conséquences permanentes sur la façon dont l'organisme humain parvient à survivre dans le présent".

Au cours de leurs années de développement, les enfants commencent à se forger un sentiment d'identité en interprétant leurs expériences, en tirant des conclusions sur leur valeur personnelle, puis en construisant un récit sur le monde à partir de ces expériences. Au fur et à mesure que le cerveau se développe jusqu'à l'âge adulte, ces systèmes de croyances de base, créent des changements structurels dans le cerveau par la formation de voies neuronales et deviennent le fondement de la façon dont l'enfant se perçoit, noue des relations et réagit aux situations.

Par exemple, lorsqu'un enfant est élevé dans un environnement favorable et stimulant, avec des limites claires, des routines cohérentes et une communication respectueuse, il peut interpréter le monde comme étant sans danger, peut établir des liens interdépendants de confiance et a tendance à être flexible dans ses attentes. Il peut également se forger des croyances fondamentales saines, telles que : "Je suis ___" (par exemple, capable, intelligent, fort, aimé, etc.) Malheureusement, les abus sexuels peuvent fausser la façon dont l'enfant se perçoit, perçoit le monde et entretient des relations avec les autres. Lorsqu'il subit un traumatisme sexuel, l'enfant peut alors conclure qu'il ne peut faire confiance à personne, que c'est de sa faute, qu'il est mauvais, qu'il ne vaut rien, qu'il est sale, qu'il ne peut pas être aimé, qu'il est un fardeau, qu'il est abîmé, qu'il est impuissant, qu'il est faible, qu'il a échoué, qu'il n'est pas à la hauteur...).

Lorsque ces conclusions destructrices deviennent la réalité mal perçue de l'enfant, toutes les expériences futures sont filtrées par ce système de croyances, ce qui peut conduire l'individu à se sentir triste, anxieux, honteux, craintif, confus et seul. Parfois, pour tenter de gérer ces émotions désagréables, l'individu s'efforce d'adopter des comportements malsains (consommation de substances, comportements sexuels à risque, dissociation, anesthésie émotionnelle, automutilation, sommeil excessif, troubles de l'alimentation, etc.) Lorsqu'une personne utilise ces comportements d'adaptation inadaptés pour faire face à des situations déclenchantes et à des émotions pénibles, les voies neuronales sont à nouveau renforcées.

Activation et connexion
En 1949, un neuropsychologue du nom de Donald Hebb a formulé l'expression « Les neurones qui s'activent ensemble se connectent entre eux ». Cette expression a été utilisée pour décrire la façon dont les voies neuronales se forment dans le cerveau, réagissent ensemble au même stimulus et sont ensuite renforcées par la répétition. Par exemple, si l'excitation et la peur ont été " activées et connectées " en même temps dans l'enfance, il est probable qu’une personne ressente de la détresse pendant les moments d'intimité sexuelle. Autre exemple : l'agresseur portait une moustache, et chaque fois que le survivant croise quelqu'un avec une moustache similaire, il peut involontairement ressentir de la panique et un sentiment d'insécurité. Cependant, même si des réactions traumatiques se sont développées dans la vie d'une personne, elles peuvent, grâce à des pratiques de guérison intentionnelles, s'atténuer avec le temps.

Réponse du corps et du cerveau au traumatisme

De nombreuses victimes d'abus sexuels ont des réactions biologiques considérées normales dans un effort visant à faire face à une situation anormale. Le système limbique, qui agit comme un centre de commandement, est un ensemble complexe de structures au sein du cerveau qui est responsable de la réaction de lutte ou de fuite face au stress. Lorsque le système limbique est activé, les glandes surrénales et l'hypophyse libèrent rapidement des hormones de stress, telles que le cortisol, l'adrénaline et la noradrénaline, qui déclenchent une chaîne de réponses physiologiques dans le système nerveux sympathique qui contribue à la survie.

Lorsque des expériences sont interprétées comme étant dangereuses, le cerveau et le corps se préparent à la survie soit par la lutte, soit en fuyant la situation. Le cerveau envoie un signal pour libérer des hormones de stress dans le sang. Le corps réagit en dilatant les pupilles pour améliorer la vue, les voies respiratoires s'ouvrent, le rythme cardiaque s'accélère et le sang riche en oxygène est détourné du système digestif et redirigé vers les muscles. Lorsque la menace est atténuée et que le danger est passé, le système nerveux parasympathique, qui agit comme une réponse de repos et de digestion, aide à réguler les fonctions corporelles. Les muscles se détendent, le rythme cardiaque ralentit, les pupilles se contractent, la pression artérielle diminue et la conservation de l'énergie reprend.

Lorsqu'une personne est victime d'abus et que les voies neuronales sont renforcées par des croyances fondamentales négatives, les réponses du système limbique peuvent s'aggraver et entraîner une myriade de symptômes à long terme qui entravent le fonctionnement quotidien. L'activation répétée de la réponse au stress peut avoir un effet de plus en plus négatif sur l'organisme. Des niveaux chroniquement élevés d'hormones de stress peuvent entraîner des troubles physiques à long terme, notamment l'immunosuppression, des lésions rénales, des problèmes intestinaux, des maux de tête, l'hyperglycémie, la prise de poids, l'insomnie, l'irritabilité, la dépression, l'anxiété et l'hypertension, qui augmentent le risque de crise cardiaque et/ou d'accident vasculaire cérébral.

Étude sur les expériences négatives dans l'enfance

En 1995, Kaiser Permanente et la CDC ( Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux USA), ont mené une étude longitudinale auprès de 17 337 participants afin de mesurer les effets de dix expériences négatives vécues pendant l’enfance, appelées "ACE” , par exemple, abus émotionnel, abus physique, abus sexuel, mère traitée violemment, toxicomanie au sein du foyer, maladie mentale au sein du foyer, séparation/divorce des parents, membre du foyer incarcéré, négligence émotionnelle et négligence physique). Cette étude monumentale a conclu que plus le score est élevé, plus la personne risque de développer : maladie cardiaque, cancer, diabète, alcoolisme, consommation de drogues illicites, stress financier, dépression, tentatives de suicide, grossesses non désirées, violences sexuelles, mauvais résultats scolaires et mort prématurée.

L'étude a révélé que 64 % des adultes aux États-Unis ont déclaré avoir subi un type d’expérience négative vécu dans l’enfance et que 17,3 % des adultes ont déclaré avoir subi quatre types de ces expériences ou plus. Compte tenu de la prévalence des expériences négatives vécues pendant l’enfance et des effets physiques et psychologiques qui y sont associés, on estime que les conséquences sanitaires liées à celles-ci représentent un fardeau économique de 748 milliards de dollars par an.

Symptômes communs des traumatismes

Bien que le parcours de chaque survivant soit unique, il existe des symptômes et des défis communs auxquels de nombreuses personnes peuvent être confrontées sur le chemin de la guérison :

Physique

  • Douleur chronique : maux de dos, tensions dans le cou et les épaules, maux de tête, articulations, nerfs, problèmes gastro-intestinaux, etc.
  • Sommeil : insomnie, hypersomnie, cauchemars, parasomnie, paralysie, etc.
  • Divers : fatigue, respiration superficielle/hyperventilation, bouche sèche, nausées, vomissements, palpitations cardiaques, tremblements, transpiration, hypervigilance, sursauts, agitation/gesticulation, etc.

Psychologiques

  • Addiction : drogues illégales, médicaments sur ordonnance, alcool, tabagisme, vapotage, etc.
  • Évitement : situations, lieux et personnes qui rappellent le traumatisme, contact visuel, procrastination, manque de motivation, indécision, expression émotionnelle, intimité, relations, etc.
  • Dissociation : flashbacks, engourdissement émotionnel, affect plat, déconnexion des pensées, des sentiments, des souvenirs ou de la réalité, etc.
  • Faible estime de soi : lutte contre les sentiments de culpabilité, de honte, d'estime de soi, critique excessive de soi-même, culpabilisation, sentiment d'être fondamentalement imparfait, perception négative de soi, conviction de ne jamais être assez bon, perfectionnisme, etc.
  • Humeur : émotions déréglées et intenses, facilement submergé et surstimulé, idées suicidaires, paranoïa, anxiété, dépression, attaques de panique, rage, désespoir, impuissance, désespoir, irritabilité, etc.
  • Adaptation non viable : troubles alimentaires, abus de substances, comportement sexuel à risque, pornographie, automutilation, négligence des besoins médicaux, agression, réactions impulsives, obéissance excessive, jeux d'argent, achats incontrôlés, exercice physique compulsif, utilisation excessive des médias sociaux et des jeux vidéo, etc.

Cognitif

  • Concentration : difficultés à prendre des décisions, retard dans le traitement de l'information, troubles de la concentration, ruminations ou pensées intrusives, réflexions excessives, obsessions, etc.
  • Fonctionnement exécutif : difficultés de planification, d'organisation, de gestion du temps, de coordination, de maîtrise de soi, de résolution de problèmes et de prise de décision.
  • Mémoire : difficultés d'encodage, de reconnaissance, de rétention et de rappel.

Social

  • Communication : évite les sujets profonds, besoins non exprimés, verbalisation des limites, disputes, passif/agressif, blâme, contournement de la confrontation, attitude défensive, interrompt, etc.
  • Intimité : éviter le contact physique, sentiment accru de vulnérabilité, sentiment d'insécurité, difficultés à établir et à maintenir des limites, peur de l'abandon, incapacité à établir des liens profonds, difficultés à nouer des relations, attachements malsains, etc.
  • Isolement : retrait des interactions et des activités sociales, ce qui entraîne un sentiment de solitude, incapacité à chercher du soutien ou à demander de l'aide, ne pas sortir de chez soi, etc.
  • Relations : relations dysfonctionnelles avec la famille, les amis et les partenaires romantiques, contrôle excessif, codépendance, attentes irréalistes, incapacité à faire confiance, etc.

Faire face et gérer les symptômes du traumatisme

Bien que tout ce qui précède explique "pourquoi" les symptômes courants à long terme se produisent après un abus sexuel subi dans l'enfance et décrit "ce" que sont ces symptômes débilitants courants, on peut se sentir à la fois accablé et/ou rassuré. Il est normal de ressentir l'une ou l'autre de ces émotions, voire les deux à la fois. Le réconfort peut venir de la prise de conscience que "je ne suis pas fou, et mes émotions ne sont pas folles, mais ce qui m'est arrivé était insensé" et de la prise de conscience qu'"il y a une raison pour laquelle je me sens/agis de cette façon". Soyez assuré que le parcours de guérison n’a pas à s'arrêter là.

Le Dr Dan Siegel, professeur de psychiatrie à la faculté de médecine de UCLA, a inventé l'expression “nomme la pour pouvoir la contrôler", qui explique que plus vous remarquez et identifiez vos émotions et vos sensations corporelles, plus il vous sera facile de les gérer. Idéalement, le fait de discerner le "quoi" et le "pourquoi" de ces symptômes aidera les survivants à atténuer la honte en favorisant l'autocompassion et la compréhension des pensées, des émotions et des réactions corporelles au traumatisme subi, tout en augmentant leur capacité à faire face efficacement en cas de déclenchement. Les survivants peuvent apprendre à répondre plutôt qu'à réagir aux déclencheurs grâce à des changements de comportement intentionnels en pratiquant de manière répétée des techniques d'ancrage et des stratégies d'adaptation saines. Ce faisant, les structures de leur cerveau peuvent s'adapter, se développer et changer grâce au processus de neuroplasticité, ce qui rend ces changements plus faciles à maintenir.

L'une des premières étapes vers la guérison consiste à reconnaître que l'abus a eu lieu et l'impact qu'il a eu sur la vie de l’individu. C’est une pratique de guérison qui consiste à regarder le passé et le présent avec clarté et à faire preuve de compassion pour ce que l'on a vécu et ce que l'on vit actuellement. Une deuxième pratique de guérison consiste à devenir plus attentif. La pleine conscience consiste à prêter attention au moment présent avec bienveillance et curiosité. Enfin, l'une des dernières étapes pour recouvrer l'espoir consiste à se fixer un objectif de bien-être. L'aspiration est une pratique de guérison qui consiste à orienter ses pensées et ses actions vers la guérison. Cette approche du passé, du présent et de l'avenir constitue un cadre holistique pour la guérison des traumatismes.

Même si les survivants présentent de nombreux symptômes complexes, il est essentiel de réaliser que la guérison est possible. Bien que le traumatisme sexuel ne soit pas de votre faute, la guérison est votre responsabilité. De nombreuses personnes se sont engagées sur la voie de la guérison, en faisant diligemment le travail nécessaire et en trouvant le chemin de l'épanouissement. Leur histoire est une lueur d'espoir qui nous rappelle qu'en dépit des ténèbres du passé, il y a de la lumière à l'horizon. Rappelez-vous que la guérison n'est pas linéaire ; il est normal d'avoir des revers en cours de route. Continuez à avancer, un pas après l'autre, et ayez confiance en l'avenir. En faisant preuve de patience tout au long du processus, en recherchant du soutien, en s'autorisant à ressentir et en cultivant l'auto-compassion, la guérison devient une possibilité et une réalité tangible. Prenez soin de vous, honorez votre parcours et croyez au pouvoir de la résilience pour transformer la douleur en force. Ensemble, nous pouvons créer un avenir où les victimes d'abus ne se contenteront pas de survivre, mais s'épanouiront.

Ressources de guérison de Saprea

Chez Saprea, nous nous consacrons à éduquer sur l'impact des abus sexuels sur mineurs, à promouvoir des modèles de comportement plus sains et à lutter contre les réponses de survie inadaptées. En nous appuyant sur les recherches les plus récentes, nous proposons un large éventail de ressources conçues pour les survivants et leurs réseaux de soutien.

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Webinaire consacré à la guérison

Saprea propose un webinaire de guérison interactif et éducatif gratuit de 4,5 heures, conçu pour aider les femmes adultes survivantes à démarrer leur guérison depuis leur domicile. Le webinaire est dirigé par un thérapeute clinique spécialisé dans la guérison des traumatismes, ainsi que par un co-facilitateur. Les survivantes auront l'occasion de participer à des cours, de s'engager dans des discussions de groupe, de se connecter avec leur corps et de construire une communauté avec d'autres survivantes.

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Retraite Saprea

Saprea propose une retraite gratuite de quatre jours dans l'Utah pour les femmes adultes ayant survécu à des abus sexuels subis dans l'enfance. Cette retraite est cliniquement informée et dirigée par une équipe de thérapeutes agréés et de gestionnaires de cas. Cette retraite permet aux survivantes de se familiariser avec les conséquences des traumatismes, de mettre en pratique des outils de guérison et de créer une communauté de soutien. Par la suite, les participantes sont invités à poursuivre leur apprentissage dans le cadre de cours en ligne qui permettent d'approfondir la compréhension et l'application des principes de guérison.

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Groupes de soutien pour survivantes d'abus sexuels

Saprea propose des groupes de soutien en personne et virtuels dirigés par des survivantes, avec des personnes qui ont des expériences et des motivations communes, afin de créer une communauté de sécurité émotionnelle, de compréhension et de désir de croissance. Les animatrices reçoivent une formation pour diriger ces groupes fondés sur la recherche et cliniquement informés, dans un environnement confidentiel et chaleureux où les survivantes peuvent se connecter les uns aux autres, fournir de la validation, de l'empathie et de la solidarité dans le cheminement vers la guérison.

Outre les services de guérison destinés aux survivantes adultes d'abus sexuels subis dans l'enfance, Saprea propose une éducation à la prévention des abus et s'efforce de sensibiliser le public à cette question. Pour en savoir plus sur Saprea, une organisation à but non lucratif de type 501(c)(3), et sur ce que vous pouvez faire pour vous impliquer visitez Saprea.org.

À propos de l'auteur

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Rachel Gardner, L.C.S.W.

THÉRAPEUTE CLINICIENNE
Rachel a obtenu sa maîtrise de travail social à l'Université de Californie du Sud en 2012 et a obtenu sa licence de travail social clinique après avoir travaillé avec diverses communautés dans une variété de contextes hospitaliers et ambulatoires. Elle est formée à la thérapie cognitive et comportementale centrée sur le traumatisme (TFCBT), à la thérapie comportementale dialectique (DBT), à la thérapie d'acceptation et d'engagement (ACT), à la désensibilisation et au retraitement par le mouvement des yeux (EMDR), aux systèmes familiaux internes (IFS), à la thérapie centrée sur les émotions (EFT), à la thérapie familiale structurelle, au Brainspotting (BSP), à la thérapie du bac à sable, à la psychothérapie assistée par les équidés, à la guérison par le son, et elle travaille à l'obtention d'une certification en thérapie par le yoga. Rachel est passionnée par le fait de susciter l'espoir, d'encourager la persévérance et de promouvoir l'équilibre tout au long du parcours transformationnel de ses clients afin qu'ils puissent atteindre leur potentiel le plus élevé et s'épanouir. Elle est inspirée et trouve rajeunissant de donner aux individus le pouvoir de faire une croissance durable et elle est humble et honorée d'être autorisée à marcher avec eux sur le chemin de la guérison. Dans son temps libre, Rachel expérimente de nouvelles recettes, organise des soirées de jeux, va à la salle de sport, fait du bénévolat, jardine, passe du temps avec son cheval, se blottit contre ses chats et explore la nature en faisant du camping, de la randonnée, du vélo, du kayak et de l'équitation.